ineditof a écrit:
deux chose dont j'aimerais vous faire part :
1. il n'y a pas de vraies filles, et d'autres qui seraient des sous-filles...
en tant que femme à part entière, (il ne me manque rien...

) je pense ètre bien placée pour savoir de quoi on parle, et probablement mieux que toi...

Et la perception des choses ne se situe certainement pas en terme de verticalité hiérarchique....

ça, c'est une vision masculine...vue de l'extérieur quoi...
Citer:
.... et il n'y a pas de vrais mecs et d'autres qui seraient des je sais pas quoi...
"des je ne sais pas quoi"....: des "sous-mecs" ?

...la parité des propos est difficile ?
Citer:
...Pourtant, si dans une discussion une copine me dit, moi j'aime bien les vrai mecs, tu vois. Et bien je verrais tout de suite ce qu'elle veut dire. Si je lui dit, oui, moi j'aime bien les vraies filles. ce sera sans doute pareil...
Non, pas forçément..."une vraie fille", ça ne veut pas dire grand chose....voire rien...
Qui détermine qui ? Par rapport à qui, à quoi ? Moi, je ne sais pas ce que cela veut dire...
Et pourtant, je n'ai pas de souci d'identité !!!
Citer:
....2. je m'interroge sur l'element, ou les elements qui rebuttent les filles, car ce doit etre tres subtil. Ce n'est pas la violence, la brutalité, ou les coups, j'en suis sur. Il y a trop de sport tres violent ou les femmes excelent pour qu'on imagine qu'elles aient peur du kendo. Non.
Ce n'est pas non plus l'idée de tenir une arme, il suffit de voir les rangs féminins des clubs d'escrime que je frequente pour le constater. Idem pour les coups, voyez le judo, la boxe, etc...
exact...
Citer:
..En desespoir de cause, j'ai retenu deux elements en hypothese : le kiai et le coup de taille.
En effet, j'ai vu bien des debutantes rebutter a "frapper" l'adversaire, craignant meme parfois d'infliger une douleur.
Ma compagne, escrimeuse, me dit que je fais fausse route au niveau du coup de taille car elle voit les filles de son club délaisser le fleuret ( estoc) pour s'adonner au sabre (taille). Donc je sais plus.
Mais pour le kiai elle est assez d'accord. Surtout que vu de l'exterieur, les kendokas semblent vraiment "hurler" par rapport a d'autres AM.
Je ne pense pas pas non plus que ce soit une histoire de kiai, ça, c'est encore de la forme, et les hommes peuvent aussi avoir les mème soucis....
Donc, ce n'est pas spécifiquement féminin..
Il faut peut être creuser dans l'état d'esprit, qui est véhiculé en sous jacence dans le kendo, et qui se différencie des autres AM...
La perception féminine des sous- jacences est quelque chose d'assez classique, mais qu'elle n'analyse pas forcément consciemment et immédiatement, dans son contenu....
Mais qui les "chasse" !!!

Inéditof a écrit:
...Si les filles ne restent pas au kendo, car elles y viennent quand même a chaque rentrée, c'est que quelquechose les chasse....