Bonjour à tous !
Ou devrais je dire : « Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs… » ?
Ca fait tout de suite plus solennel !
J’ai été invité par plusieurs d’entre nous à communiquer sur mes actions passées et futures au sein du CD du CNK.
Pensant, mais j’espère me tromper, que certains espaces de communications et les invitations qui vont avec, se montrent trop polémiques, je préfère ouvrir un nouveau sujet.
Je ne vais pas vous faire un gros pavé (ni dans la mare d’ailleurs)

et je me permettrai de glisser quelques smiley

dans ce message. (pour aérer

)
Tout d’abord, s’il ne fallait aborder qu’un seul sujet, à quoi sert le CD du CNK ?
C’est simple !
Le CD du CNK organise la pratique au niveau national.
La pratique, le mot est lâché ! Il faut, et juste cela : organiser la pratique de tous les pratiquants… , ni querelles, ni soif de pouvoir, ni vieille rancune

qu’on ne sait plus de quand elle date… sans doute à cause un koté sur le coude

lors d’un championnat de France il y a 35 ans…
Par la suite, sur ce forum et ailleurs, je n’aborderai que ce sujet, le seul qui vaille la peine que l’on discute.
Pour ceux qui ne me connaissent pas, ou mal, voici un résumé succint et synthétique de mes actions en vue de développer nos disciplines.
Début du Kendô à l’âge de 8ans (environ),
Enseignement le Kendô depuis l’âge de 18 ans (En débutant par l’enseignement aux enfants).
A l’époque où j’avais plus de temps, j’ai pratiqué toutes les disciplines du CNK (à l’exception du Kyudo… pour l’instant)
DTR depuis l’age de 21 ans. Animation régionale, encadrement de stages.
Membre de l’équipe de France de Kendô pendant 14 ans dont 10 en tant que Capitaine.
Arbitre national depuis 15 ans.
Membre du CD du CNK depuis 8 ans :
Mon action au sein du CD dont je suis le plus fier :
- La création de la commission jeunes que Romain BLACHON a superbement développé par la suite.
Ce qu’il me reste à accomplir :
- Cette dernière Olympiade, j’ai été chargé du département des disciplines associées. Je reconnais que pour diverses raisons, la plupart étant de mon fait, je n’ai pas réussi à mettre en place la synergie que j’aurais voulu.
- Venant de la province, ayant œuvré pour elle, et le faisant encore à titre privé, je me sens prêt à m’investir sur un projet de géopolitique : "Comment rapprocher la province de Paris ?"
Voilà, j’ai assez maltraité mon clavier.
En conclusion, je serai heureux de travailler avec toute personne qui mettra l’organisation de la pratique des pratiquants
(répétition volontaire) au centre de ses préoccupations.
Merci de m’avoir lu.
JP Labru